Égoïstement vôtre.

Cet article est le deuxième de la série intitulé : « Et le projet fut »,
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Penser à votre institution en premier lieu n’est pas égoïste, au contraire, cela permettra de créer une expérience positive pour vos ambassadeurs et de renforcer la cohésion au sein de votre établissement. Pour bien mettre en place un projet, il y a trois questions à se poser.

Dans cet article, nous allons nous pencher sur ces questions et vous donner des astuces pour bien construire votre projet.

Construire un projet, ça se pense, et ça prend du temps.
Excusez-moi d’enfoncer des portes ouvertes dès le début de l’article, mais il est mieux que l’on parte tous du même constat.

Allez, une autre lapalissade pour la route :
Un projet a un but.

Et c’est encore mieux quand ce but est pour faire rayonner votre Institution
Qu’elle soit reconnue et que de nouveaux jeunes viennent remplacer les anciens.

On pourrait croire que c’est égoïste

Et pourtant,

Votre but premier est de faire rayonner votre Institution.

C’est à elle qu’il vous faut penser en premier

Que vous le vouliez ou non, chacun de vos événements crée des ambassadeurs
(J’en parle dans la série d’articles « Ambassadeur malgré moi »)

Votre objectif intrinsèque est de créer une expérience notable positive pour que vos ambassadeurs, lorsqu’ils parlent de vous, fassent briller votre Institution.

Maintenant que l’on a assumés être des égoïstes (mais pour de bonnes raisons !),
il y a grosso-modo trois questions à se poser pour bien mettre en place son projet :

1. A quelle problématique souhaite-t-on répondre ? L’objectif.

La mise en place d’un projet n’arrive pas là par hasard.
Ou si … mais ça c’était avant de connaître ATIPIK (auto-promotion discrète, héhé)

Comme en sciences, il est important de se trouver une problématique.

Elle n’a pas besoin d’être compliquée ni alambiquée.
Vous la connaissez déjà cette problématique.
Il faut juste l’expliciter.

Quelques exemples :

– Renforcer la cohésion entre vos jeunes
– Augmenter votre transparence auprès des parents
– Faire apprendre l’anglais autrement
– Animer un ou des temps forts de votre établissement

2. A qui voulez-vous vous adresser ? Les cibles

Parler à des jeunes, à leurs parents, aux adultes de l’établissement, à des professeurs ou à des éducateurs ce n’est pas parler à la même personne.
En communication, on appelle ça des cibles.
A ces cibles est adressée une communication différente.

Il est possible de s’adresser à des adultes via des la mise en place de clubs pour les jeunes.
Des clubs pour lesquels vous aurez besoin spécifiquement du concours de tel ou tel professeurs.
Des clubs grâce auxquels vous permettrez à des éducateurs d’établir une connexion différente avec le jeune.

Un autre exemple : le club journal peut vous permettre de faire preuve de plus de transparence auprès des parents. Grâce aux articles 100% internes rédigés par les jeunes, les parents sont rassurés et ont connaissance régulièrement de ce qu’il se passe dans l’établissement.


3. Quelles répercussions sur l’Institution ? La finalité

Votre Institution EST ce qu’elle produit.
J’aime beaucoup cette affirmation, et si vous êtes abonné(e) à ma newsletter vous le savez déjà.
Je l’utilise à toutes les sauces.
Elle est profondément vraie et simple à comprendre.

ATIPIK, agence de communication spécialisée et dédiée aux Institutions Jeunesse













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